29 déc. 2012


Plasticien-comédien, je porte un regard sur la ville, l'urbain et l'humain, « la fourmilière » où s'organise mes fourmis humaines. Dans un labyrinthe de perspectives en noir et blanc je montre la rue, les façades des immeubles qui appartiennent plus aux passants, qu'aux locataires et propriétaires qui les occupent. Comme si la ville nous gommait, effaçant les visages, les détails, les identités, les différences, les indifférences nous métamorphosant en anonymes bipèdes sociaux écrasés par notre multitude solitude ; comme si la bousculade et les accélérations urbaines occultaient la lisibilité des visages...

L’équipé My Art Gallery.

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